
Il s’en est fallu de peu qu’il y ait plus de victimes samedi 22 février à Mulhouse. C’est grâce à la présence de policiers municipaux sur le terrain que le pire a été évité. Une plus grande reconnaissance sociale de ces agents, la modernisation de leur métier doivent être couchées sur le papier et faire en sorte que le Beauvau des polices municipales, quasiment concomitant de l’attaque de Mulhouse, ne reste pas lettre morte.
